10 questions à… Vicky, marqueteuse en communication en ligne
Pas de Juttu sans une équipe XL aux talents variés. Envie de savoir qui se cache derrière Juttu ? Tous les deux mois, nous te présentons une personne à qui nous posons les mêmes questions inattendues.
Ce mois-ci : Vicky Verstappen, marqueteuse en communication en ligne chez Juttu
1. Un incendie se déclare et tu ne peux sauver qu’un seul vêtement. Qu’emportes-tu avec toi ?
« Une robe tee-shirt de Dries Van Notes. Ma sœur et moi l’avons trouvée dans une vente de stock et en sommes toutes les deux tombées amoureuses. Quand elle s’est dirigée vers la caisse, j’étais secrètement jalouse de l’avoir vue un peu avant elle. Lorsque nous sommes parties en vacances en Croatie, elle me l’a donnée en me disant qu’elle m’allait mieux. Je ne la porte pas souvent, mais aime l’admirer dans ma garde-robe. »
2. Outre ta carrière, quelle est ta plus grande ambition dans la vie ?
« Les ambitions et moi ne faisons pas trop la paire. Dans la vie, j’ai pratiquement pris toutes mes décisions de manière intuitive et non pour atteindre un but précis. C’est peut-être là que se cache mon ambition ? Continuer à suivre mon intuition dans tout ce que je fais et pour tout ce qui m’importe… »
3. Nous ne te verrons jamais, never, nooit avec…
« Des chaussures à semelles compensées. Pourtant, je suis petite et elles pourraient donc m’être d’une grande utilité. Mais non merci, je passe. »
4. Tu peux discuter avec n’importe qui pendant une heure. Qui choisis-tu ?
« Olivia Borlée. Il y a quelques années d’ici, j’ai eu la chance de collaborer avec elle pendant une campagne. J’ai été fortement impressionnée ; elle est intelligente, modeste et passionnée. Elle est acharnée au travail et a un sens du style incomparable, dans tous les sens du terme. J’ai regretté de ne pas lui avoir posé plus de questions à l’époque. »
5. Actuellement en boucle sur Spotify ?
« “Lifetime” de Romy, un projet solo de la chanteuse des XX. Elle a écrit le numéro pendant la période du coronavirus, mais je l’ai redécouvert récemment. Dans ce numéro, elle décrit son désir ardent de solidarité. Un aspect qui nous manque depuis très longtemps. Ce sentiment se faufile en moi, mais de manière très sincère, pleine d’espoir. La chanson est entraînante et enjouée. Mes goûts musicaux sont très variés, mais ce frépond 100 % à la chanson pop. »
6. Quel est le plus beau cadeau que tu aies jamais reçu ?
« Le jour de la fête des Mères, ma fille m’a offert une composition florale qu’elle avait faite elle-même. En plus d’être émouvantes, les fleurs en papier étaient particulièrement jolies, tant par leur forme que par la palette de couleurs. Me rendre compte que ma fille, elle, est habile (voir plus loin) et a beaucoup de goût était un très beau cadeau ! »
7. Imagine que tu peux gagner un stock de quelque chose à vie. Que choisis-tu ?
« Des manteaux ! Des vestes, des pardessus, des capes, des redingotes et des imperméables… Lors de nos séances shopping, mes copines me surprennent coup sur coup dans les rayons des manteaux. Soyons honnêtes : un manteau peut faire toute la tenue. Il ne se porte peut-être pas à l’intérieur, mais souvent, les plus belles choses de la vie se passent à l’extérieur. Mieux vaut y être habillée. »
8. Qui ou qu’est-ce qui te fait rire ?
« J’ai des affinités avec la langue, donc les jeux de mots subtils, un passage rigolo dans un roman ou même un slogan bien trouvé peuvent me faire rire aux éclats. Les écrivains et les rédacteurs sont les personnes les plus marrantes au monde ! »
9. Le meilleur est encore à venir, mais jusqu’à présent, quel était ton âge préféré ?
« J’ai énormément apprécié ma vie d’étudiante ! J’avais un kot, j’adorais mon option et je me suis fait des amis pour la vie. »
10. Quel talent te fait malheureusement défaut, alors que tu aimerais en faire preuve ?
« Je suis extrêmement maladroite, gauche même. Je pense que ma motricité fine a un sérieux problème. Je laisse constamment tomber un tas de trucs. Parfois, il m’est même impossible de coudre un simple bouton sur un pantalon. La couture, la création et la réparation de mes propres vêtements, voilà qu’il me semble un précieux talent que je ne posséderai jamais. »
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