Nick Daelemans : « Comme le nom l’indique, nos puzzles ne sont pas rangés dans une boîte, mais dans une pochette refermable. Ça intrigue, ça attire le regard… et c’est surtout hyper pratique à emporter, même en voyage. Et puis, il faut le dire : nos thèmes sortent de l’ordinaire, loin des puzzles classiques. »
« On n’a rien contre les puzzles traditionnels, mais on voulait proposer quelque chose de plus fun. Tout part d’un brainstorming : on choisit un thème décalé, puis on cherche l’illustrateur ou l’illustratrice parfait·e pour le traduire. Il faut à chaque fois que ce soit quelqu’un qui soit en phase avec le thème, car nous voulons intégrer beaucoup de références dans le design. Prenons Puzzle & Chill, par exemple : un puzzle pimenté, avec 69 clins d’œil cachés — hôtels coquins, accessoires suggestifs, lapins malicieux… tout y est. Autre exemple : Phobophobia, en partenariat avec l’Arteveldehogeschool, l’une des plus grandes hautes écoles de Gand, qui explore… les peurs ! On y retrouve 73 phobies illustrées : de la plus connue à la plus improbable. »
« Des phobies aux films hollywoodiens, jusqu’aux illustrations un peu osées… aucun thème ne nous fait peur ! »
« On a déjà collaboré avec plus d’une dizaine d’illustrateurs, comme Steve Van Bael, Musketon ou Studio Stoutpoep. On aime cette diversité : chaque puzzle a son univers visuel, et c’est ce qui les rend uniques. Cela permet de susciter l’intérêt chez différents types de personnes. Et pour cela, nous explorons chaque thème en détail. Pour notre puzzle sur Amsterdam, par exemple, on a travaillé avec quelqu’un qui vit dans la ville depuis des années. Résultat : un design bourré de références et de détails que seuls les initiés remarqueront. C’est ce genre de subtilité qui fait la différence. »
« On a une longue liste, entre nouveaux talents et grands noms. Mais s’il faut en citer un : Jan est un énorme fan de Lectrr. Avoir un puzzle signé de sa main serait vraiment un immense honneur… »
« Parfois, un client nous écrit pour dire que son chien a avalé une pièce du puzzle… Dans ce cas, on renvoie tout simplement la pièce manquante ! »
« Exactement ! Chaque puzzle vient avec un petit livret explicatif et un QR code. Pour And the Oscar goes to, par exemple, tu peux découvrir tous les films hollywoodiens cachés dans l’illustration. Dans la pochette, on glisse aussi un poster A3 du motif pour t’aider à assembler le puzzle, une carte postale de l’illustration, des infos sur l’illustrateur·rice et sur Puzzle in a Bag, et, selon le thème, un petit extra. Pour Puzzle & Chill, par exemple… un préservatif ! »
« Là encore, on a trouvé une solution ! Plusieurs fois par mois, on reçoit des messages de fans désespéré·e·s parce qu’il leur manque une pièce. On a tout entendu : le chien qui l’a mangée, la femme de ménage trop consciencieuse… C’est simple : tu nous envoies une photo de ton puzzle, on identifie la ou les pièces manquantes et on te les renvoie. Et le plus drôle, c’est qu’on reçoit souvent un mail quelques jours plus tard : la pièce refait surface, parfois dans la pantoufle du conjoint, parfois dans la poche d’un peignoir… »
« Exactement ! Pour l’emballage, nous collaborons avec Werkhuizen Min, une entreprise à Deurne qui, depuis plus de 65 ans, offre un emploi durable aux personnes ayant une distance personnelle ou sociale par rapport au marché du travail. »
« Les best-sellers, ce sont sans hésiter le puzzle pimenté Puzzle & Chill et le puzzle cinéma And the Oscar goes to…. Nos puzzles autour des villes se vendent aussi très bien, et on a encore plein d’idées pour développer cette gamme. Nous avons également lancé notre tout premier escape puzzle, Prison Escape : un concept interactif où tu dois t’évader de prison. À chaque étape complétée, tu choisis ta prochaine direction pour atteindre le niveau suivant. C’est une idée innovante qui rencontre déjà un vrai succès. C’est d’ailleurs un bel exemple de ce qui définit notre marque : nos puzzles sont bien plus que de simples pièces à assembler. »
