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Max De Cock : « Adolescent, j’étais déjà fasciné par le piquant. À seize ans, j’ai commencé à expérimenter avec des piments, des épices et de l’huile. Mais c’est après un voyage en Inde, à dix-huit ans, que j’ai découvert LE piment parfait : le Bhut Jolokia, aussi appelé Ghost Pepper. Il est puissant, mais surtout délicieux en termes de goût. De retour en Belgique, j’ai commencé à le cultiver. Ici, avec moins de soleil, il est un peu moins fort mais garde tout son parfum. Idéal pour les Belges qui ne sont pas habitués aux sensations très piquantes. »
« Pâtes, yaourt ou même chicons au gratin : tout devient meilleur avec une touche de folie. »
« Les ingrédients premium. J’utilise quatre variétés de piments différentes. Je voulais rendre l’histoire aussi locale que possible, donc je me suis mis en quête d’un producteur belge. C’était tout sauf évident, car ils sont rares ici. J’en ai finalement trouvé un, et je collabore également avec des cultivateurs aux Pays-Bas et en Espagne. Pour l’huile d’olive aussi, je voulais faire la différence. J’ai testé des dizaines d’huiles avant de trouver la meilleure. La différence de goût avec une huile d’olive extra vierge de qualité est énorme. Trop souvent, on utilise des huiles bon marché, telles que d’olive bas de gamme, de maïs ou de pépins de raisin, qui déséquilibrent le piquant et rendent le plat trop gras ! Avec Madmax, je veux apporter une touche de folie sans jamais écraser les saveurs. »
« De plus en plus de gens cherchent cette petite touche relevée. Et une fois que tu t’y habitues, tes papilles en redemandent. There’s no way back : sans ça, un plat paraît tout de suite fade. »
« Au fil de l’aventure Madmax, j’ai découvert que l’huile pimentée peut sublimer plein de plats différents. Dernièrement, j’en ai ajouté quelques gouttes dans du yaourt… et même avec de la glace vanille, ça fonctionne super bien. À l’époque où j’étais étudiant, j’avais déjà testé un shot de vodka avec un trait de Madmax... ça réveille ! Et bien sûr, aucune assiette de pâtes n’existe pour moi sans huile pimentée. Autre conseil : les chicons au gratin belges avec jambon et fromage… deviennent incroyables avec une pointe de Madmax. »
« Une fois qu’on commence à aimer le piquant, les papilles s’habituent à cette sensation. Il n’y a plus de retour en arrière ! »
« C’est un clin d’œil à mes débuts. Quand j’étais étudiant, je préparais toujours un seau de dix litres d’huile d’un coup. Restait à trouver des contenants… et qu’est-ce qu’on a toujours en stock quand on est étudiant ? Des bouteilles de bière ! C’était la solution la plus simple et la plus économique, et en plus, ça avait de la gueule. Du coup, on a gardé ce look iconique. »
« Il y en a pas mal ! Rien que le fait d’utiliser une bouteille de bière complique un peu tout. Je n’ai toujours pas trouvé de bec verseur parfaitement adapté, donc il faut les fixer à la main. Même les piments sont insérés un par un dans chaque bouteille. Les gens ne se rendent pas compte : chaque bouteille de Madmax passe entre cinq paires de mains avant d’être prête. »
« Oui, j’assure encore tout moi-même au quotidien. Un jour, je suis chez le producteur de piments ; le lendemain, je fais ma compta ou je tourne une vidéo avec un·e influenceur·se. Quand Juttu m’a annoncé il y a un an qu’ils voulaient commercialiser Madmax, j’étais sur un nuage. Quelques heures plus tard, une panne en production m’a remis les pieds sur terre… C’est les montagnes russes. J’ai déjà tout fait et résolu à peu près tous les problèmes possibles, et j’en suis fier. Mais soyons honnêtes : mon associé et moi espérons agrandir l’équipe cette année. Si quelqu’un lit ceci et se sent assez mad, qu’il ou elle se manifeste ! »
« Carrément ! Mais cette folie fait partie de l’ADN de la marque. Voir tout ce qu’on a accompli, c’est dingue. En 2019, je faisais encore des bouteilles pour la famille et les amis ; aujourd’hui, Madmax est présent dans près de 400 points de vente en Belgique et aux Pays-Bas, et 40 % des ventes se font en ligne. On remplit environ 40 000 bouteilles par an. Maintenant, je vise une expansion européenne. La production est prête, les piments poussent, les retours sont positifs… Madmax est prêt à se faire une place dans un maximum de cuisines. »